Assurez-vous que le sol de votre parcelle convient à la production de la truffe, faites réaliser des analyses de terre faites en laboratoire spécialisé PH entre 7,9 et 8,3. Quelles étaient les cultures précédentes : vigne, céréales, jachère. Apportez un soin particulier à la préparation de votre sol.
Regardez autour de vous si il y a une présence de chênes, noisetiers, charmes… et déterminez la densité de plantation (max 300 plants à l’hectare).
Le travail du sol se fera en fonction de la culture précédente (céréale, vignes, prairie…)
Apportez un soin particulier à la plantation des plants choisis, ce n’est pas une perte de temps, vous serez gagnants avec une plantation réussie.
Le mode de trufficulture dépend du terrain, du climat, de la possibilité d’arroser.
Les différentes tâches seront le travail du sol, la taille, l’irrigation, et le réensemencement si nécessaire (fétuque ovine…).
Tout va dépendre en fait du terrain : le sol de la truffière doit être aéré.
C’est une condition indispensable à la réussite de la culture.
Attention aux terrains argileux.
La récolte se déroule en fonction de la truffe cultivée : de décembre à mars pour Tuber Melanosporum et de septembre à décembre pour Tuber Uncinatum pour les plus connues. La truffe peut affleurer le sol ou se trouver à 30/40 cm de profondeur. L’aide d’un animal reste quasi indispensable : de nos jours le chien est le plus approprié, mais on peut essayer à la mouche (beaucoup de patience) ou encore le cochon (pas simple de nos jours).
Bonne récolte.
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